DREAL Nouvelle-Aquitaine
Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement

Données en ligne

Parution décembre 2025

Les voitures en circulation en Nouvelle-Aquitaine
au 1er janvier 2025

Au 1er janvier 2025, 4,02 millions de voitures sont en circulation en Nouvelle-Aquitaine, soit 10,1 % du parc national. Le parc continue de vieillir avec plus de la moitié des véhicules qui dépassent les 10 ans (55 %).
Les motorisations diesel thermiques (non hybrides), bien qu’en déclin, restent majoritaires (52 %), tandis que les essence thermiques conservent une part stable à 38 %. Les motorisations alternatives (électriques, hybrides rechargeables ou non, et gaz) progressent et atteignent 10 %, soit deux points de plus que l’année précédente. Parmi elles, les essence hybrides non rechargeables enregistrent la plus forte croissance (+36 % en un an).
En termes de classification environnementale, 35 % des véhicules relèvent d’une vignette Crit’Air 1 ou zéro émission, 36 % d’une vignette Crit’Air 2, et 29 % d’une vignette Crit’Air 3 ou plus (ou non classés).
Les professionnels, qui détiennent 6 % du parc, possèdent des flottes plus récentes et plus vertes que les particuliers : une voiture électrique sur cinq et deux hybrides rechargeables sur cinq leur appartiennent.



Des motorisations qui continuent leur évolution

Au 1er janvier 2025, le parc automobile de la Nouvelle-Aquitaine atteint 4,02 millions de voitures, marquant une augmentation de 0,9 % en un an, soit 35 400 véhicules supplémentaires. Une durée d’utilisation plus longue des véhicules a compensé une année 2024 marquée par un recul des immatriculations de voitures neuves dans la région. La hausse du nombre de voitures varie entre + 0,26 % dans la Vienne et + 1,3 % dans les Landes.

Les motorisations diesel thermiques (1), bien qu’encore majoritaires (52 %), voient leur part continuer de reculer. Par rapport à 2023, le parc compte 68 300 véhicules diesel en moins, soit une baisse de 3 %. À l’inverse, les autres motorisations progressent : + 53 500 hybrides non rechargeables (essence ou diesel), +36 300 véhicules à énergies alternatives (électrique, hybride rechargeable, gaz) (2) et +13 900 voitures à essence. Au 1er janvier 2025, les voitures à essence thermique représentent toujours 38 % du parc néo-aquitain, comme en 2024. Une voiture sur dix utilise désormais une motorisation alternative au diesel et à l’essence thermiques.

Les hybrides non rechargeables (HNR) connaissent une forte croissance (+ 36 % en un an). Principalement des modèles essence, elles dominent les immatriculations neuves en 2024 et représentent désormais 5,2 % du parc. Les électriques et hybrides rechargeables progressent également, passant de 3 % en 2023 à 3,9 % en 2024 (contre seulement 0,9 % en 2021). Depuis 2020, elles ont dépassé les motorisations au gaz (essentiellement des bicarburations essence-GPL), autrefois principale alternative aux thermiques. Bien que cette technologie connaisse un léger regain depuis 2021, elle reste marginale (0,9 % du parc).

(1): Dans cette publication, le terme “thermique” désigne exclusivement les motorisations essence ou diesel non hybrides.
(2): En janvier 2025,aucun véhicule hydrogène est recensé dans le parc néo-aquitain et 250 véhicules ont une motorisation inconnue.



Trois départements concentrent près de la moitié du parc roulant néo-aquitain : la Gironde (25 %), les Pyrénées-Atlantiques (12 %), la Charente-Maritime avec (11 %). Comparé à la tendance nationale, la région compte plus de motorisations diesel thermiques (+ 3,6 points), notamment dans les territoires plus ruraux.
Le choix de la motorisation varie selon les types de territoires. Dans les communes rurales les plus éloignées des centres urbains, le diesel domine largement, mais sa part diminue au profit des motorisations essence thermiques à mesure que l’on se rapproche des pôles urbains (une voiture sur deux roule à l’essence thermique dans les grands centre urbains, hors véhicules professionnels). De plus, les motorisations électriques et hybrides rechargeables sont un peu plus choisies par les particuliers dans les ceintures urbaines : 4 % contre 2,9 % dans les autres territoires (grands centres urbains ou intermédiaires, petites villes ou communes rurales).
Cette répartition influence fortement les disparités entre départements. En Creuse, 62 % des voitures sont des diesel thermiques et 35 % des essence thermiques, contre respectivement 47 % et 41 % en Gironde. Ce dernier département affiche aussi 4,8 % de véhicules hybrides rechargeables ou électriques, un taux qui n’atteint que 1,9 % en Creuse.




L’évolution des motorisations s’inscrit dans la continuité des années précédentes : recul du nombre de diesel (à partir de 2018), avancée des thermiques essence et surtout forte progression des hybrides non rechargeables et des autres motorisations alternatives.
Sur une décennie, le parc automobile a connu une croissance de 12,7 %, soit 452 400 véhicules supplémentaires. L’évolution a été la plus marquée dans les départements littoraux (+ 15 % dans les Landes).




Un parc automobile toujours vieillissant

L’ancienneté moyenne des voitures ne cesse d’augmenter. En 2012, moins de la moitié des véhicules (44 %) avaient plus de 10 ans, alors qu’ils sont majoritaires en 2025 (55 %). À l’inverse, la part de voitures récentes (de moins de 5 ans) s’est réduite, passant de 28 % en 2012 à 19 % en 2025.

Au 1er janvier 2025, 595 000 voitures âgées de 20 à 30 ans (soit 15 % du parc) circulent encore, un bond de 45 % depuis 2020. Dans le même temps, le contingent des véhicules de 3 à 20 ans a progressé de 4 % et le nombre de voitures de moins de 3 ans a chuté de 27 %. Ce recul des voitures récentes touche surtout les motorisations thermiques, en particulier de type essence, le diesel étant déjà en déclin depuis plusieurs années. Ce vieillissement, amorcé avant 2020, s’est fortement accéléré depuis.

Les deux tiers des voitures de plus de 10 ans roulent encore au diesel thermique, contre seulement 19 % des véhicules de moins de 5 ans. Dans cette dernière catégorie, 38 % sont des essence thermiques et 43 % relèvent d’autres motorisations, avec : 22 % d’hybrides non rechargeables (essence ou diesel), 11,5 % d’électriques, 6 % d’hybrides rechargeables et 3,5 % de gaz.




Plus du tiers de voitures en vignette zéro émission ou Crit Air 1

Les nouveaux véhicules intégrant le parc néo-aquitain sont, dans le cas des véhicules neufs, munis de vignettes Crit’Air 2 pour les Diesel, E pour les électriques et 1 pour les autres motorisations. En revanche, les véhicules qui quittent le parc sont généralement plus anciens et plus polluants. Conséquence, la part des Crit’Air 1 progresse de 2,5 points en un an et celles des Crit’Air E de 0,6 point. En sens contraire, la proportion de voitures classées Crit’Air 4, 5, ou non classées diminue de 1,2 point, et celles des Crit’Air 2 et 3 reculent respectivement de 0,5 et 1,4 point au cours de la même période.

Au 1er janvier 2025, les voitures éligibles à la vignette Crit’Air 2 prédominent dans le parc automobile, représentant 35,6 %. Ce sont essentiellement des motorisations diesel fabriquées à partir de 2011. Elles sont suivies par les Crit’Air 1 (32,3 %) et les Crit’Air 3 (18,9 %). Les véhicules classés Crit’Air E constituent 2,5 % du parc. Quant aux voitures les plus polluantes, classées Crit’Air 5 ou non classées, elles représentent 4,6 % du parc, cette proportion atteignant 10,7 % avec l’ajout des Crit’Air 4.
Comparé au niveau national, la Nouvelle-Aquitaine compte moins de vignettes Crit’Air 1 (les plus nombreuses en France) et E et plus de vignettes des classes 3 ou supérieures (du fait de la plus grande part de diesel).


La répartition des vignettes Crit’Air en Nouvelle-Aquitaine révèle de fortes disparités selon les départements.
En Gironde, Pyrénées-Atlantiques, Charente-Maritime, la proportion de vignettes 1 ou E est plus élevée que dans le reste de la région tandis que la part de vignettes 5 ou non classées y est plus faible. En Gironde, plus précisément, 40 % des voitures relèvent des vignettes E ou 1.
En Creuse, Dordogne, Lot-et-Garonne, Charente, Corrèze et dans les Deux-Sèvres, la situation est inversée : une fréquence plus élevée des vignettes 4, 5 ou non classée se cumule à une moindre proportion de vignettes les plus performantes, reflétant un parc automobile globalement plus ancien.
La Haute-Vienne, la Vienne et les Landes occupent des positions intermédiaires.




Le certificat qualité de l’air est délivré en fonction du type de motorisation et de la norme européenne d’émissions polluantes qu’il respecte, dite norme Euro, ou, à défaut, en fonction de la date de mise en circulation. Il vise à classer les voitures pour répondre à un enjeu de qualité de l’air, et non de lutte contre le changement climatique (réduction des émissions de gaz à effet de serre).



Un essoufflement de la croissance du parc des professionnels

La proportion de voitures utilisées par des professionnels (1) progresse depuis plusieurs années. Au 1er janvier 2025, 6,4 % du parc automobile est utilisé par des professionnels, soit une hausse de 1,6 point en dix ans.

Sur la dernière décennie, le parc automobile des professionnels a progressé en moyenne de 4 % par an, un rythme nettement supérieur à celui des particuliers (+ 0,6 %). En 2024, cette croissance marque cependant un net ralentissement : la hausse n’atteint plus que 1 % pour les professionnels (contre 0,9 % pour les particuliers).

Les véhicules des professionnels se distinguent par leur caractère récent et leur orientation vers des motorisations alternatives. En janvier 2025, 69 % des voitures des professionnels ont moins de 5 ans, une proportion plus de quatre fois supérieure à celle des particuliers (16 %). Ce renouvellement rapide s’accompagne souvent d’un passage de motorisations thermiques à des solutions alternatives. Ainsi, 8 % des véhicules des professionnels sont des motorisations électriques, contre seulement 2% des véhicules des particuliers. 67 % des voitures des professionnels fonctionnent encore à l’essence ou au diesel, contre 92 % chez les particuliers.

La loi d’orientation des mobilités (LOM) du 24 décembre 2019 a instauré des obligations de verdissement de l’acquisition de véhicules dont le contenu est différencié suivant les personnes morales et les catégories de véhicules. Les professionnels doivent respecter un quota minimal de véhicules à faibles ou très faibles émissions lors du renouvellement de leur flotte de véhicules. En 2025, cette contrainte est supprimée pour les entreprises privées et remplacée par une taxe incitative.

L’ancienneté et la motorisation des véhicules influencent directement leur classification Crit’Air : 59 % du parc professionnel relèvent des vignettes Crit’Air E ou 1, contre seulement 33 % pour les particuliers. À l’inverse, les voitures Crit’Air 4, 5 ou non classées représentent 3 % du parc des professionnels, mais 11 % chez les particuliers.


(1): L’utilisateur est défini comme le propriétaire du véhicule ou, le cas échéant, le locataire longue durée. Un utilisateur professionnel désigne ici une personne morale ou une entreprise individuelle.




Le kilométrage moyen toujours en baisse

En 2024, les véhicules en circulation en Nouvelle-Aquitaine ont parcouru en moyenne 11 600 km, marquant un recul de 0,7 % après un fléchissement de 2 % en 2023. Cette diminution s’inscrit dans une tendance globale à la baisse observée depuis 2011, même en excluant les années 2020 et 2021 fortement impactées par la pandémie.
Le kilométrage moyen régional est quasi identique à la moyenne nationale. En France métropolitaine, il varie de 10 500 km (Corse) à 12 000 km (Hauts-de-France).

Entre 2019 et 2025, bien que le parc automobile ait augmenté de 4,1 %, le kilométrage total a diminué de 3,8 %, soit 900 km de moins en moyenne par véhicule. Cette baisse touche principalement les motorisations diesel (-10 %), tandis que les voitures électriques voient leur kilométrage moyen progresser de 13 %, atteignant 13 300 km en 2024.

Les véhicules essence thermique enregistrent le kilométrage moyen le plus faible (8 800 km), alors que les motorisations hybrides affichent les distances les plus élevées : 15 000 km pour les hybrides essence non rechargeables, jusqu’à 21 900 km pour les hybrides diesel rechargeables.




Source : Les données proviennent du répertoire statistique des véhicules routiers (RSVERO) géré par le service des données et études statistiques (SDES), service de statistique publique des ministères chargés de l’énergie, des transports, du logement, de la construction et de l’environnement.
Le RSVERO recense les véhicules routiers immatriculés sur le territoire français (départements d’outre-mer compris) à partir des informations issues du système d’immatriculation des véhicules (SIV), et est enrichi avec les données issues des contrôles techniques, que l’Utac recueille auprès des centres agréés.

Retrouvez les données et études à télécharger sur le site du ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires
donnees et etudes statistiques - parc et circulation de véhicules routiers
Catalogue DiDo - transports

Définitions

Voitures
Une voiture est un véhicule routier automobile, autre qu’un deux-roues à moteur ou une voiturette, destiné au transport de voyageurs, pour un nombre de places assises égal au maximum à neuf. On inclut à la fois les véhicules des particuliers et ceux des professionnels.

Parc en circulation
Un véhicule est considéré dans le parc en circulation, s’il vérifie les conditions suivantes :
- Le véhicule a été immatriculé au SIV avant le 1er janvier de l’année N
- Aucune opération de sortie de parc n’a été déclarée à l’ANTS : destruction, vente ou déménagement à l’étranger, véhicule accidenté, véhicule en attente de vente chez un concessionnaire
- Le véhicule est à jour de son contrôle technique ou en retard modéré : compte-tenu du fait qu’un grand nombre de véhicules passent leurs contrôles techniques en retard, un véhicule qui n’est pas strictement à jour de son contrôle technique au 31 décembre de l’année N, mais qui finalement passe son contrôle technique avec un retard statistiquement modéré (18 mois pour le premier contrôle technique, 12 mois pour les suivants) présente une très forte présomption d’être en circulation au 1er janvier. Il est ainsi compté dans le parc au 1er janvier.
Pour l’année 2025, pour les véhicules en retard de leur contrôle technique au 1er janvier 2025 on applique un coefficient traduisant la probabilité que le véhicule passe un contrôle technique avec un retard inférieur à l’hypothèse retenue pour le considérer en circulation.
- Pour appartenir au parc, l’utilisateur doit résider en France et ne pas être un professionnel de l’automobile ayant acquis le véhicule temporairement dans le but de le revendre.
Le parc des voitures particulières exclut les véhicules de collection. La réglementation spécifique qui s’applique à ces véhicules en matière de contrôles techniques, plus espacés, voire inexistants, rend leur suivi plus complexe, alors que leur contribution à la circulation routière est négligeable du fait d’une utilisation bien plus faible.

Localisation du parc
La localisation du véhicule à la commune (respectivement département et région) est déterminée à partir de l’adresse indiquée sur le certificat d’immatriculation du véhicule indépendamment de son usage et des habitudes de circulation de son utilisateur. Dans le cas d’un véhicule en location longue durée ou en crédit-bail, l’adresse correspond au locataire du véhicule et non à son propriétaire.

Vignette crit’air
Les données sur les vignettes crit’air correspondent aux vignettes crit’air théoriques déterminées à partir des informations inscrites sur le certificat d’immatriculation, que le titulaire du véhicule ait demandé ou non sa vignette crit’air.

Les véhicules routiers à moteur sont classés en fonction de leur niveau d’émission de polluants atmosphériques locaux, conformément à l’annexe I de l’arrêté du 21 juin 2016. Cette classification s’opère en fonction de la catégorie du véhicule, de sa motorisation et :
- lorsque l’information est disponible, en fonction de la norme « Euro » figurant dans la rubrique V.9 du certificat d’immatriculation définie par l’annexe III de l’arrêté du 9 février 2009 ; ou
- à défaut, en fonction de la date de première immatriculation figurant dans la rubrique B définie par cette même annexe.
Les véhicules équipés d’un dispositif de traitement des émissions polluantes installé postérieurement à la première mise en circulation du véhicule peuvent être classés dans une classe supérieure dans les conditions prévues par l’arrêté du 15 mai 2013.
Les modalités du certificat de qualité de l’air sont disponibles sur le site : https://www.ecologie.gouv.fr/certificats-qualite-lair-critair

Âge (uniquement au niveau régional)
L’âge est déterminé à partir de l’année de mise en circulation.

Utilisateur
L’utilisateur désigne le propriétaire du véhicule ou, le cas échéant, le locataire longue durée, tel que renseigné sur le certificat d’immatriculation. Les véhicules de fonction sont donc rattachés à l’entreprise titulaire du certificat et pas aux personnes qui en ont la jouissance.

Statut
Issu de la distinction effectuée par l’ANTS (formulaire Cerfa 13750) entre personne physique et personne morale ; ces deux catégories sont renommées « particulier » et « professionnel » afin d’intégrer dans la modalité « professionnel » les entreprises individuelles ayant déclaré leur Siren sur leur certificat d’immatriculation.



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