DREAL Nouvelle-Aquitaine
Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement

Données en ligne

Parution février 2025

Les voitures en circulation en Nouvelle-Aquitaine
au 1er janvier 2024

Au 1er janvier 2024, 3,96 millions de voitures sont en circulation en Nouvelle-Aquitaine, soit 10,1 % du parc national. Plus de la moitié des véhicules a dépassé les 10 ans (54 %), en augmentation par rapport aux années précédentes. La part des diesel thermiques (non hybrides) continue de diminuer mais reste majoritaire (54 %). Les motorisations électriques, à hydrogène, hybrides rechargeables ou non et gaz représentent désormais 7,8 % du parc, enregistrant une augmentation significative de 32 % par rapport à 2023. Dans le parc automobile régional, 32 % relèvent d’une vignette zéro émission ou Crit’Air 1, 36 % d’une vignette Crit’Air 2 et 32 % d’une vignette Crit’Air égale à 3 ou plus (ou non classé).
Le nombre de voitures utilisées par des professionnels est en hausse, tandis qu’il reste stable pour les particuliers. En 2024, 6,4 % du parc automobile est détenu par des professionnels. Leur flotte, composée de véhicules plus récents, voit la part des motorisations essence et diesel hors hybrides reculer à 73 %.



Des motorisations qui continuent leur évolution

Au 1er janvier 2024, le parc automobile de la Nouvelle-Aquitaine atteint 3,96 millions de voitures, marquant une légère augmentation de 0,6 %, soit 12 700 véhicules supplémentaires. Cette hausse modeste suit une année 2023 pendant laquelle les immatriculations de voitures neuves avaient bondi de 13 %. Trois départements concentrent 48 % du parc roulant néo-aquitain : la Gironde avec 25 %, les Pyrénées-Atlantiques avec 12 %, et la Charente-Maritime avec 11 %.

Les motorisations diesel thermiques (1) restent majoritaires (54 %), bien que leur part continue de diminuer. En comparaison avec l’année précédente, le parc compte 74 500 voitures diesel thermiques en moins. En revanche, les autres types de motorisations sont en augmentation : plus 11 900 voitures à essence, 35 500 voitures hybrides non rechargeables (essence ou diesel), et 41 700 voitures fonctionnant avec d’autres énergies alternatives (électrique, hydrogène, hybride rechargeable, gaz).
En janvier 2024, les voitures équipées de moteurs thermiques à essence représentent, comme en 2023, 38 % du parc néo-aquitain.
Quasi absentes du parc il y a dix ans, les voitures hybrides et électriques continuent leur essor. Les hybrides non rechargeables, principalement des modèles à essence, représentent désormais 3,5 % du parc, avec un effectif multiplié par 3,5 en quatre ans. Les voitures électriques et hybrides rechargeables poursuivent également leur ascension, avec une accélération notable depuis 2020 dans l’ensemble des départements de la région. Elles représentent 3 % du parc en 2024, contre 1,5 % deux ans plus tôt et seulement 0,5 % en 2020. Depuis 2020, elles ont dépassé les motorisations au gaz, principalement des bicarburations essence-GPL, qui représentaient la principale alternative aux énergies thermiques il y a dix ans. Cette technologie connaît un regain d’intérêt depuis 2021.

(1): Dans cette publication, le terme “thermique” désigne exclusivement les motorisations essence ou diesel non hybrides.



Comparé à la tendance nationale, la région compte plus de motorisations diesel thermique (+ 3,4 points), plus particulièrement dans les territoires plus ruraux. Le choix de la motorisation diffère d’un département à l’autre. En Creuse, 63 % des voitures sont des diesel thermiques et 32 % des essence thermiques, par rapport à respectivement 49 % et 41 % en Gironde. Dans ce dernier, 3,8 % des voitures sont hybrides rechargeables, électriques ou à hydrogène, pour 1,5 % en Creuse.




L’évolution des motorisations s’inscrit dans la continuité des années précédentes : recul du nombre de diesel (à partir de 2018), avancée des thermiques essence et surtout forte progression des hybrides non rechargeables et des autres motorisations alternatives. Sur une décennie, le parc automobile a connu une croissance de 7,9 %, soit 318 000 véhicules supplémentaires. L’évolution a été la plus marquée dans les départements littoraux. Entre 2023 et 2024, le nombre de véhicules est en léger recul en Creuse, quasi stable dans les Landes. La croissance est modérée dans les autres départements, avec un maximum dans les Deux-sèvres et en Gironde (+ 0,53%).




Un parc automobile vieillissant

L’ancienneté des voitures continue de progresser. En 2012, moins de la moitié des véhicules (44 %) avaient plus de 10 ans, alors qu’elles sont majoritaires en 2024 (55 %). À l’inverse, la proportion de voitures récentes diminue : en 2024, seul 21 % des véhicules en circulation ont moins de 5 ans, contre 28 % en 2012.

Au 1er janvier 2024, 545 000 voitures âgées de 20 et 30 ans circulent encore, représentant 14 % du parc automobile. Ce nombre a bondi de 33 % depuis 2020. Par ailleurs, le contingent des véhicules âgés de 3 à 20 ans a progressé de 4 %. Dans le même intervalle, le nombre de voitures de moins de 3 ans a chuté de 27 %, en raison de la réduction des immatriculations entre 2020 et 2022. Ce recul des voitures récentes concerne principalement les motorisations thermiques, en particulier les véhicules essence, les motorisations diesel étant déjà en déclin depuis plusieurs années.
Cependant, le vieillissement du parc automobile ne s’explique pas uniquement par la diminution des immatriculations durant cette période. Ce phénomène était déjà observable avant 2020, mais il s’est nettement accéléré depuis cette date.

Les deux tiers des voitures âgées de plus de 10 ans sont équipés de moteurs diesel thermiques. Par contre, ces derniers ne constituent plus que 25 % du parc des voitures de moins de 5 ans. Les motorisations hybrides non rechargeables, qu’elles soient essence ou diesel, en constituent 15 %, tout comme les motorisations alternatives.




Trois voitures sur dix en vignette zéro emission ou Crit Air 1

Le certificat qualité de l’air est délivré en fonction du type de motorisation et de la norme européenne d’émissions polluantes qu’il respecte, dite « norme Euro », ou, à défaut, en fonction de la date de mise en circulation. Il vise à classer les voitures pour répondre à un enjeu de qualité de l’air, et non de lutte contre le changement climatique (réduction des émissions de gaz à effet de serre).


Au 1er janvier 2024, les voitures éligibles à la vignette Crit’Air 2 prédominent dans le parc automobile, comme au niveau national, représentant 36,1 %. Ce sont essentiellement des motorisations diesel fabriquées à partir de 2011. Elles sont suivies par les Crit’Air 1 (29,8 %) et les Crit’Air 3 (20,3 %). Les véhicules classés Crit’Air E constituent 1,9 % du parc. Quant aux voitures les plus polluantes, classées Crit’Air 5 ou non classées, elles représentent 5,2 % du parc, cette proportion atteignant 12 % avec l’ajout des Crit’Air 4. Comparé au niveau national, la Nouvelle-Aquitaine compte moins de vignettes Crit’Air 1 et E et plus de vignettes des classes 3 ou supérieures.

Les nouveaux véhicules intégrant le parc néo-aquitain sont, dans le cas des véhicules neufs, munis de vignettes Crit’Air 2 pour les Diesel, E pour les électriques et 1 pour les autres motorisations. En revanche, les véhicules qui quittent le parc sont généralement plus anciens et plus polluants. Conséquence, la part des Crit’Air 1 progresse de 2,3 points en un an et celles des Crit’Air E de 0,6 point. En sens contraire, la proportion de voitures classées Crit’Air 4, 5, ou non classées diminue de 1,5 point, et celle des Crit’Air 3 recule de 1,2 point au cours de la même période.


La répartition des vignettes Crit’Air en Nouvelle-Aquitaine révèle de fortes disparités selon les départements.
En Gironde, Pyrénées-Atlantiques, Charente-Maritime, la proportion de vignettes 1 ou E est plus élevée que dans le reste de la région tandis que la part de vignettes 5 ou non classées y est plus faible. En Gironde, plus précisément, 37 % des voitures relèvent des vignettes E ou 1.

En Creuse, Dordogne, Lot-et-Garonne et en Charente, la situation est inversée : une fréquence plus élevée des vignettes 4, 5 ou non classée se cumule à une moindre proportion de vignettes les plus performantes, reflétant un parc automobile globalement plus ancien.

Les autres départements occupent des positions intermédiaires. La Haute-Vienne et les Landes se situent dans la moyenne régionale en termes de répartition des vignettes E et 1.
Dans les Deux-Sèvres, la proportion de vignettes E ou 1 est relativement faible tandis, les catégories intermédiaires (vignettes 2 et 3) dominent avec 61 % du parc.
En Corrèze et dans la Vienne, la proportion de vignettes E et 1 est légèrement inférieure à la moyenne régionale, mais les vignettes moins performantes (4, 5 ou non classées) y sont plus présentes.





Stagnation du parc des particuliers et croissance du parc des professionnels

La proportion de voitures utilisées par des professionnels progresse depuis plusieurs années. En 2024, 6,4 % du parc automobile est utilisé par des professionnels, soit une hausse de 1,8 point par rapport à 2014. L’utilisateur est défini comme le propriétaire du véhicule ou, le cas échéant, le locataire longue durée, tel qu’indiqué sur le certificat d’immatriculation. Les véhicules de fonction sont ainsi rattachés à l’entreprise inscrite sur ce document.

Sur la dernière décennie, le parc automobile des professionnels a enregistré une croissance moyenne de 4,15 % par an, nettement supérieure à celle des particuliers (+0,65 %). Entre janvier 2023 et janvier 2024, le nombre de voitures détenues par des professionnels a bondi de 5,6 %, alors qu’il est resté stable pour les particuliers.

Les véhicules des professionnels se distinguent par leur caractère récent et leur orientation vers des motorisations alternatives. Dans ce segment, 71 % des voitures ont moins de 5 ans, une proportion quatre fois supérieure à celle des particuliers (18 %). Ce renouvellement rapide s’accompagne souvent d’un passage de motorisations thermiques à des solutions alternatives.

En termes de motorisation, 73 % des voitures des professionnels fonctionnent encore à l’essence ou au diesel, contre 93 % chez les particuliers. L’ancienneté et la motorisation des véhicules influencent directement leur classification Crit’Air : 54 % du parc professionnel relève des vignettes Crit’Air E ou 1, contre seulement 30 % pour les particuliers. À l’inverse, les voitures Crit’Air 4, 5 ou non classées représentent 4 % du parc des professionnels, mais 13 % chez les particuliers.




Le kilométrage moyen toujours en baisse

Au cours de l’année 2023, les véhicules en circulation en Nouvelle-Aquitaine ont parcouru en moyenne 11 613 km, soit un recul de 2 % par rapport à 2022. Cette diminution s’inscrit dans une tendance globale à la baisse observée depuis 2011, à l’exception des années 2021 et 2022 qui ont connu une hausse du kilométrage moyen en réaction à la forte baisse de 2020 causée par la pandémie.

Le kilométrage moyen en Nouvelle-Aquitaine demeure légèrement inférieur à la moyenne nationale. À l’échelle métropolitaine (11 705 km), seuls quatre régions présentent un kilométrage moyen encore plus faible : la Corse, la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’Île-de-France et le Centre-Val de Loire. Les véhicules essence présentent le kilométrage moyen le plus faible, tandis que les hybrides, qu’ils soient rechargeables ou non, essence ou diesel, affichent les distances les plus élevées.




Source : Les données proviennent du répertoire statistique des véhicules routiers géré par le service des données et études statistiques (SDES) du ministère de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires. Il recense les véhicules routiers immatriculés sur le territoire français (départements d’outre- mer compris) à partir des informations issues du système d’immatriculation des véhicules (SIV) et transmises par le ministère de l’Intérieur (Agence nationale des titres sécurisés).

Retrouvez les données à télécharger sur le site du ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires
donnees et etudes statistiques - parc et circulation de véhicules routiers

Définitions

Voitures
Une voiture est un véhicule routier automobile, autre qu’un deux-roues à moteur ou une voiturette, destiné au transport de voyageurs, pour un nombre de places assises égal au maximum à neuf. On inclut à la fois les véhicules des particuliers et ceux des professionnels.

Parc en circulation
Un véhicule est considéré dans le parc en circulation, s’il vérifie les conditions suivantes :
- Le véhicule a été immatriculé au SIV avant le 1er janvier de l’année N
- Aucune opération de sortie de parc n’a été déclarée à l’ANTS : destruction, vente ou déménagement à l’étranger, véhicule accidenté, véhicule en attente de vente chez un concessionnaire
- Le véhicule est à jour de son contrôle technique ou en retard modéré : compte-tenu du fait qu’un grand nombre de véhicules passent leurs contrôles techniques en retard, un véhicule qui n’est pas strictement à jour de son contrôle technique au 31 décembre de l’année N, mais qui finalement passe son contrôle technique avec un retard statistiquement modéré (18 mois pour le premier contrôle technique, 12 mois pour les suivants) présente une très forte présomption d’être en circulation au 31 décembre. Il est ainsi compté dans le parc au 31 décembre. Pour l’année 2024, pour les véhicules en retard de leur contrôle technique au 31 décembre 2023 on applique un coefficient traduisant la probabilité que le véhicule passe un contrôle technique avec un retard inférieur à l’hypothèse retenue pour le considérer en circulation.
- Pour appartenir au parc, l’utilisateur doit résider en France et ne pas être un professionnel de l’automobile ayant acquis le véhicule temporairement dans le but de le revendre.
Le parc des voitures particulières exclut les véhicules de collection. La réglementation spécifique qui s’applique à ces véhicules en matière de contrôles techniques, plus espacés, voire inexistants, rend leur suivi plus complexe, alors que leur contribution à la circulation routière est négligeable du fait d’une utilisation bien plus faible. Un chiffrage du parc des véhicules de collection mis en circulation après 1960 est toutefois possible : au premier janvier 2023, on en dénombrait 107 000 véhicules de collection en France.

Localisation du parc
La localisation du véhicule à la commune (respectivement département et région) est déterminée à partir de l’adresse indiquée sur le certificat d’immatriculation du véhicule. Dans le cas d’un véhicule en location longue durée ou en crédit-bail, l’adresse correspond au locataire du véhicule et non à son propriétaire.

Vignette crit’air
Les données sur les vignettes crit’air correspondent aux vignettes crit’air théoriques déterminées à partir des informations inscrites sur le certificat d’immatriculation, que le titulaire du véhicule ait demandé ou non sa vignette crit’air.

Les véhicules routiers à moteur sont classés en fonction de leur niveau d’émission de polluants atmosphériques locaux, conformément à l’annexe I de l’arrêté du 21 juin 2016. Cette classification s’opère en fonction de la catégorie du véhicule, de sa motorisation et :
- lorsque l’information est disponible, en fonction de la norme « Euro » figurant dans la rubrique V.9 du certificat d’immatriculation définie par l’annexe III de l’arrêté du 9 février 2009 ; ou
- à défaut, en fonction de la date de première immatriculation figurant dans la rubrique B définie par cette même annexe.
Les véhicules équipés d’un dispositif de traitement des émissions polluantes installé postérieurement à la première mise en circulation du véhicule peuvent être classés dans une classe supérieure dans les conditions prévues par l’arrêté du 15 mai 2013.
Les modalités du certificat de qualité de l’air sont disponibles sur le site : https://www.ecologie.gouv.fr/certificats-qualite-lair-critair

Âge (uniquement au niveau régional)
L’âge est déterminé à partir de l’année de mise en circulation.

Utilisateur
L’utilisateur désigne le propriétaire du véhicule ou, le cas échéant, le locataire longue durée, tel que renseigné sur le certificat d’immatriculation. Les véhicules de fonction sont donc rattachés à l’entreprise titulaire du certificat et pas aux personnes qui en ont la jouissance.

Statut
Issu de la distinction effectuée par l’ANTS (formulaire Cerfa 13750) entre personne physique et personne morale ; ces deux catégories sont renommées « particulier » et « professionnel » afin d’intégrer dans la modalité « professionnel » les entreprises individuelles ayant déclaré leur Siren sur leur certificat d’immatriculation.



Mentions légales


Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement Nouvelle Aquitaine
Mission Connaissance et Analyse des Territoires
15 rue Arthur Ranc, BP 60539 – 86020 Poitiers CEDEX
Tel : 05 49 55 63 63

Hébergement
http://dreal.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/


Directeur de la publication :
Vincent Jechoux, Directeur Régional de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement Nouvelle-Aquitaine
Conception :
Mission Connaissance et Analyse des Territoires
Courriel :


Droit d’auteur - Licence

Tous les contenus présents sur ce site sont couverts par le droit d’auteur. Toute reprise est dès lors conditionnée à l’accord de l’auteur en vertu de l’article L.122-4 du Code de la Propriété Intellectuelle.

Établir un lien

Tout site public ou privé est autorisé à établir, sans autorisation préalable, un lien vers les informations diffusées par le Ministère de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires.
L’autorisation de mise en place d’un lien est valable pour tout support, à l’exception de ceux diffusant des informations à caractère polémique, pornographique, xénophobe ou pouvant, dans une plus large mesure porter atteinte à la sensibilité du plus grand nombre.
La présence de liens hypertexte vers d’autres sites web n’engage pas le ministère quant au contenu de ces sites.
Aucune page ne peut être présentée comme provenant de ce site si des transformations en modifiant le sens y ont été apportées.

Usage CNIL

Les utilisateurs sont responsables des interrogations qu’ils formulent ainsi que de l’interprétation et de l’utilisation qu’ils font des résultats. Il leur appartient d’en faire un usage conforme aux réglementations en vigueur et aux recommandations de la CNIL lorsque des données ont un caractère nominatif (loi n° 78.17 du 6 janvier 1978, relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés dite loi informatique et libertés).
Il appartient à l’utilisateur de ce site de prendre toutes les mesures appropriées de façon à protéger ses propres données et/ou logiciels de la contamination par d’éventuels virus circulant sur le réseau Internet. De manière générale, la DREAL Nouvelle-Aquitaine décline toute responsabilité quant à un éventuel dommage survenu pendant la consultation du présent site. Les messages que vous pouvez nous adresser transitant par un réseau ouvert de télécommunications, nous ne pouvons assurer leur confidentialité.

Traitement des données à caractère personnel
L’outil ne fait pas d’usage interne de données à caractère personnel.